LA CRISE DE LA CINQUANTAINE

La crise de la cinquantaine se manifeste chez certain(e)s entre 45 et 55 ans.L’heure du bilan sur sa vie passée a sonné , à 50 ans, on commence à entrevoir l’extrémité de sa vie, donc la possibilité de sa mort..
Le malaise est profond car il s’accompagne d’une perte des repères habituels.Tout ce qui semblait important devient secondaire.
Le ou la quinquagénaire prend brutalement conscience que la vie est courte et se pose alors les questions essentielles : qu’ai-je fait de ma vie ? Ma vie me convient-elle ? Suis-je satisfait du chemin accompli?

Pour les femmes, cet âge correspond de plus avec l’arrivée de la ménopause, qui représente une période de bouleversements hormonaux plus ou moins bien vécus (manifestations physiques désagréables, dérèglements divers, modifications de l’apparence du corps….). S’ajoute pour celles qui ont été mères, le « syndrome du nid vide », car c’est à cette époque en effet que les enfants des quinquagénaires prennent leur envol et quittent le foyer familial.

Cette succession de changements est vécue différemment suivant les individus : certain(e)s considèrent ce cours de la vie normal et continuent leur chemin ; pour d’autres, la situation est problématique.
Ces dernier(e)s vont réagir de diverses manières : repli sur soi, vers le passé, les souvenirs, aucune projection dans l’avenir, sentiment que tout est fini , que sa vie est derrière soi ; d’autres au contraire vont adopter une attitude plus offensive et se lancer dans le sport à outrance, cultiver le jeunisme, accorder un intérêt excessif à leur apparence physique, acheter la voiture ou la moto de leurs rêves (réaction principalement masculine), aller même jusqu’à céder au vent de folie qui souffle dans leur tête : tout quitter, tout recommencer, pour les hommes, on parle parfois de « démon de midi »...
Tous ces comportements, frénésie d’activités ou triste passivité sans projet, sont des attitudes de fuite, et ne résolvent pas le profond malaise existentiel.

De nombreuses peurs sont à l’origine du mal-être ressenti : peur du temps qui passe, sentiment d’urgence, peur des ravages du temps, peur de la maladie, peur de la vieillesse et du dernier stade la mort.
Vous êtes concerné(e) ? Vous pouvez alors vous appliquer à vous-même ce fameux slogan « parce que je le vaux bien », vous pouvez vous offrir les moyens de sortir de cette impasse, vous pouvez vous autoriser à vous faire aider afin de retrouver un projet de vie qui vous stimule et vous remplisse de joie de vivre. Car si vous prévoyez d’être centenaire, vous n’êtes qu’au milieu de votre vie, autant vivre les derniers 50 ans qui arrivent, le plus agréablement possible, non ?

Le coaching est une solution efficace pour apprendre à surmonter vos peurs, reconnaître et prioriser vos valeurs personnelles. Cette crise se révélera salutaire et bénéfique : à l’issue de l’accompagnement du coach, vous vous projetterez à nouveau avec bonheur dans l’avenir, vous renouerez avec l’envie de continuer et de vous construire une nouvelle vie qui vous correspond. Vous aurez trouvé en vous de nouvelles ressources pour atteindre de nouveaux buts et cheminer sereinement vers la réalisation de vos aspirations profondes.